Pourquoi faut-il revoir Twin Peaks ?

Twin Peaks Laura Palmer

Au début des années 90, l’univers onirique et inquiétant de David Lynch s’immisceait par la petite lucarne dans tous les foyers américains grâce à la série Twin Peaks. Deux saisons, 29 épisodes et autant de mystères qui révolutionnèrent tout simplement le cadre des bonnes vieilles séries télévisées. Car David Lynch et Mark Frost (qui créa par la suite X-Files), décidèrent de casser les codes du genre en proposant un véritable objet de fascination, à travers la peinture à la fois sombre, poétique et burlesque d’une petite bourgade du nord des Etats Unis, qui renferme en son sein de nombreux secrets.

Red Money « Chase Me »

Chase Me Cover Red Money album

La fièvre au corps et les riffs aiguisés, Red Money propose un premier album sous haute tension rock’n’roll. Leur premier titre “Chase Me” m’avait déjà bien tapé dans l’oeil, petit hymne pop, terriblement sexy, entre garage et rockabilly, bien pimenté par une chanteuse charnelle (Laure Laferrerie) qui a aussi la bonne idée de mettre beaucoup de blues dans ses guitares acérées.

Parlor Snakes en interview : New York, Paris, Eugénie & le rock’n’roll…

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Quatre ans ont passé depuis ma première entrevue avec la belle Eugénie, front-woman de velours du groupe de rock parisien Parlor Snakes. Quatre ans après un premier album charnel et inspiré (« Let’s Get Gone ») sorte de road trip lanscinant au pays du Gun Club, Roy Orbison et Blondie. Parlor Snakes a tourné sans relâche, mûrit son approche, travaillé son image sans jamais perdre l’essence de son rock’n’roll élégant, sensuel et envoûtant.
Quatre ans plus tard, je retrouve donc avec plaisir, Eugénie toujours aussi généreuse et sincère, qui nous dévoile les coulisses de l’enregistrement du disque à New York, une histoire de belles rencontres…

Parlor Snakes

Découvert en 2011 sur la foi d’un premier album envoûtant (“Let’s Get Gone”), j’étais vraiment tombée sous le charme du rock’n’roll hypnotique de Parlor Snakes, le plus new yorkais des groupes parisiens. Elégants et cultivés, le quatuor convoquait alors les fantômes de Jeffrey Lee Pierce, Poison Ivy, Lux Interior et Debbie Harry avec une intensité et une sensualité affriolante.

LiliDollrage « Horror Songs » + « I Am »

Carrément débordée ces derniers temps (la faute à un emploi du temps surchargé de super maman/étudiante/multi-fonctions), j’ai eu, je m’en excuse un peu de mal à trouver quelques heures à consacrer à l’écoute du rock’n’roll salvateur, et à vous faire partager quelques lignes de mes joyeuses découvertes. Heureusement entre deux exams me voilà de retour au front, pour mon plus grand plaisir et le vôtre également j’espère!

Back in town donc avec le son grunge, crasseux et déroutant du duo LiliDollRage, qui oeuvre depuis quelques années déjà sur la scène Lilloise.