Quatre ans ont passé depuis ma première entrevue avec la belle Eugénie, front-woman de velours du groupe de rock parisien Parlor Snakes. Quatre ans après un premier album charnel et inspiré (« Let’s Get Gone ») sorte de road trip lanscinant au pays du Gun Club, Roy Orbison et Blondie. Parlor Snakes a tourné sans relâche, mûrit son approche, travaillé son image sans jamais perdre l’essence de son rock’n’roll élégant, sensuel et envoûtant.
Quatre ans plus tard, je retrouve donc avec plaisir, Eugénie toujours aussi généreuse et sincère, qui nous dévoile les coulisses de l’enregistrement du disque à New York, une histoire de belles rencontres…
rock’n’folk
Deap Vally « Sistrionix », soul sisters & rock’n’roll…
Il était temps. Voici enfin en 2013 un album de rock’n’roll, digne de ce nom avec tout ce qu’il faut de riff, de rage, de sexe, d’humour et d’insolence. Un album qui crache, qui rugit (de plaisir), qui envoie le bois comme il se doit et qui n’a surtout pas peur d’être malpoli.
A l’origine de ce joyeux vacarme, les deux californiennes de Deap Vally,
Ungemuth, Pearl Jam, le grunge, et moi…
En parcourant le dernier numéro de Rock’n’Folk, j’eu le regret de constater une fois de plus, le snobisme d’un certain type de journaliste parisien, qui, non content de mépriser son lectorat et de lui offrir régulièrement une vision pour le moins réduite et déformée de la scène rock française (et internationale), piétine avec une jouissance même pas feinte, nos amours de jeunesse… Ainsi, le très honorable Nicolas Ungemuth, qui me fait parfois sourire avec ses chroniques assassines dans la rubrique « rééditions », s’en ai pris, cette fois-ci, violemment (et ce n’est pas la première fois) à ces braves gars de Pearl Jam…