En parcourant le dernier numéro de Rock’n’Folk, j’eu le regret de constater une fois de plus, le snobisme d’un certain type de journaliste parisien, qui, non content de mépriser son lectorat et de lui offrir régulièrement une vision pour le moins réduite et déformée de la scène rock française (et internationale), piétine avec une jouissance même pas feinte, nos amours de jeunesse… Ainsi, le très honorable Nicolas Ungemuth, qui me fait parfois sourire avec ses chroniques assassines dans la rubrique « rééditions », s’en ai pris, cette fois-ci, violemment (et ce n’est pas la première fois) à ces braves gars de Pearl Jam…