Natalia Doco “Jardin”
Une jolie ballade mélancolique nourrie par la douce nostalgie de sa terre natale d’Argentine: Natalia Doco est une artiste rare à la fois solaire et brumeuse qui dévoile une sensibilité à fleur de peau.
L.A. Witch “Kill My Baby Tonight”
C’est toujours un plaisir de retrouver les plus intrigantes sorcières de la scène rock californienne. Toujours coincé entre les Cramps et Black Sabbath, le trio ne perd rien de son mordant sur ce nouveau titre psychobilly.
Widowspeak “The Dream”
J’ai toujours adoré ce groupe, certes très inspiré par Mazzy Star, qui revient avec ce titre enchanteur et planant qui pourrait figurer sur la B.O. de Twin Peaks…
Nadine Shah “Evil”
PJ Harvey étant partie vers des contrées égarées (loin du rock’n’roll en tout cas), il est désormais temps pour ces dignes successeurs de sortir les crocs. Nadine Shah semble en tout cas enfin prête à lui ravir la couronne.
Bully “Feel The Same”
Toujours plongée dans les 90’s, Alicia Bognanno n’en démord pas (pour notre plus grand plaisir) avec un nouveau titre pop et punk, super grungy. Diablement efficace.
Lindi Ortega ‘’Til The Goin’ Gets Gone”
Poignante, lumineuse et sexy, Lindi Ortega continue de poser son empreinte sur la country d’aujourd’hui, avec dans le rétroviseur un clin d’oeil malicieux à son idole Dolly Parton.
Velvet “How Do You Know”
Voilà encore un groupe de Los Angeles à suivre de près. Un premier titre qui finit là où on ne l’attend pas, entre ciel et terre, planant et rageur à la fois: on croirait entendre Veruca Salt à la belle époque, grungy, girly, et très sale à la fois.
Alyeska “Absaroka”
Elle est vraiment barrée la jolie Alaska Red et prend un malin plaisir à jouer avec son image de baby doll, pour mieux brouiller les pistes, casser les codes, se rouler dans la boue, tout en gardant le sourire au lèvres. Ce nouveau morceau en est une bonne illustration.
Teleferik “Betrayal Of Men”
Pour le plaisir on retrouve les parisiens de Teleferik avec un nouveau titre barré, souligné de claviers 80’s, piqués aux B 52’s et des guitares toujours aussi inventives. Ajoutez à cela la folie douce d’Eliz et c’est presque le tiercé gagnant…
Iress “Crown Of Losers”
On enfonce le clou avec un autre groupe de Los Angeles. Lourd et vibrant, hanté par des visions nocturnes et des fantômes mélancoliques, Iress oscille entre grunge, doom et shoegaze, porté par une voix de sorcière enchanteresse.